Fondée par Paul Rodrigues, fils d’agriculteur, et Adime Amoukou, fils d’agronome, Hectarea est née d’un constat simple : reconnecter les investisseurs particuliers aux agriculteurs qui les nourrissent. La mission est claire : démocratiser l’accès à la terre, pour permettre à chacun d’investir dans le foncier agricole à partir de 500 €, tout en contribuant à la transition écologique.
« La terre n’est pas un actif comme les autres. C’est une ressource limitée, vitale, et durable. Elle mérite d’être accessible et protégée par l’investissement », souligne Paul Rodrigues.
Hectarea répond ainsi à trois problématiques clés du marché :
Selon les projections du ministère de l’Agriculture, près de 50 % des exploitants agricoles prendront leur retraite d’ici 2030. Le renouvellement des générations est donc un enjeu majeur. Or, l’accès au foncier constitue le principal frein à l’installation des jeunes agriculteurs.
Hectarea permet d’y répondre en finançant, via l’épargne des particuliers, l’acquisition de terres destinées à être louées à des exploitants engagés dans des pratiques durables.
Le contexte sociétal évolue rapidement. Les particuliers, tout comme les investisseurs professionnels, expriment une volonté croissante d’orienter leur épargne vers des projets à impact positif.
Selon Ipsos, 60 % des Français souhaitent que leur épargne ait un impact environnemental ou social. Hectarea sélectionne exclusivement des exploitations à taille humaine, orientées vers l’agroécologie, l’agriculture biologique ou l’agroforesterie.
« Nous voulons permettre aux Français d’investir utilement, concrètement, dans des projets agricoles qui ont du sens », explique Paul Rodrigues.
Le foncier agricole constitue une classe d’actifs tangible, historiquement stable, et faiblement corrélée aux marchés financiers. Il s’inscrit ainsi dans une logique de diversification long terme, comparable à l’immobilier, avec une volatilité plus faible.
Pour les conseillers en gestion de patrimoine et family offices, Hectarea offre une solution d’investissement alternative à fort potentiel de diversification. Elle s’adresse à des clients recherchant une exposition aux actifs réels, une protection contre l’inflation, et un levier ESG structurant.
Hectarea propose aux distributeurs partenaires un ensemble d’outils professionnels :
Tous les projets financés par Hectarea font l’objet d’une sélection approfondie :
Les investisseurs peuvent suivre l’évolution de chaque projet via leur espace personnel, avec des mises à jour régulières sur la gestion et l’impact généré.
Hectarea observe chez ses utilisateurs professionnels plusieurs tendances convergentes :
Le foncier agricole, en tant qu’actif tangible à impact, répond à cette double quête : sens et stabilité.
Hectarea développe actuellement plusieurs initiatives pour renforcer l’intégration de ses solutions dans les allocations patrimoniales :
Dans un contexte de mutation profonde des attentes des investisseurs, Hectarea apporte une réponse structurée, pertinente et éthique aux enjeux de diversification patrimoniale.
La plateforme permet d’investir simplement, directement, et en toute transparence dans des projets agricoles durables, avec des perspectives de rendement mesurées et une utilité sociale et environnementale tangible.
Pour les professionnels du patrimoine, c’est l’opportunité d’élargir leur offre à une nouvelle classe d’actifs encore peu exploitée, tout en répondant aux nouvelles exigences de leurs clients : cohérence, stabilité, impact.
Le foncier agricole est une ressource limitée et stratégique, offrant une opportunité de diversification patrimoniale avec un actif tangible, faiblement volatil et décorrélé des marchés financiers traditionnels. Il répond aussi à une forte demande sociétale d'investissements à impact positif.
L’investissement présente des risques de liquidité (durée d'engagement de 10 ans), de vacance locative en cas de défaillance de l’exploitant, et de valorisation du foncier à la revente. Hectarea sélectionne rigoureusement ses projets pour limiter ces risques.
Le rendement attendu est de 2 à 4 % par an, principalement sous forme de fermage (loyer agricole), complété potentiellement par une plus-value foncière à la revente après 10 ans.